Condamnés à faire beaucoup mieux (in French)
« Nous sommes le deuxième pays émetteur de gaz à effet de serre au monde. Les États-Unis sont obligés d’être des leaders » pour renverser la situation, a affirmé lundi l’ancien président américain Barack Obama lors d’un discours à la conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP26). Tout le Canada devrait prêter l’oreille : nous sommes condamnés à la même chose.
You might also be interested in
Governments are subsidizing the destruction of nature even as they promise to protect it
When dignitaries from 196 countries converge in Montreal next week to rub shoulders and hash out a new global agreement to save nature, money will be on the agenda.
Leaders’ Club Cuts Fossil Fuel Finance but Falls Short on Clean Energy Support
Signatories of the Clean Energy Transition Partnership have cut their international public finance for fossil fuels dramatically since signing the agreement but are underdelivering on the clean finance pledge.
Biodiversité: les subventions pour la destruction de la nature
Des centaines de millions de dollars de plus sont nécessaires chaque année pour renverser les pertes de biodiversité —restaurer les forêts et les terres humides, établir des zones protégées, mettre en place une agriculture plus durable. Mais ce n’est pas seulement une question d’investissements dans la protection de la biodiversité. Les gouvernements doivent aussi cesser de subventionner sa destruction.
Analysing India’s climate policy and the route post-COP27
As the world's third-largest greenhouse gas emitting country, India is often criticised by the international community. However, it justifies itself by stating its minuscule per capita emissions and low historical emissions as compared to the developed world. This analysis explores whether India is playing its role in tackling one of the world's most pressing issues.